Le top 5 des idées folles des compagnies aériennes...!
Dernière mise à jour : 13 juin
Le top des idées folles des compagnies aériennes...! Lorsqu'il est question de profits et de marketing, les compagnies aériennes ne manquent jamais d'idées. Bien au contraire.
Je vous propose de découvrir ensemble ce que les transporteurs ont imaginé pour faire des économies voir des idées folles pour les futurs voyages.... !
Un piège à terroriste

Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, les compagnies aériennes ainsi que les
constructeurs comme Airbus ou Boeing n'avaient qu'une obsession : se protéger des attentats et des terroristes. Ainsi, sur fond d'anxiété, Airbus eu l'idée de développer un piège à terroriste.
Ce piège, situé à l'avant de la cabine (on imagine assez facilement devant le poste de pilotage),
serait en fait une trappe.... Un peu comme dans les cartoons où l'on voit Grosminet concevoir des plans pour attraper Titi... Ainsi, l'individu malveillant, positionné sur cette trappe, se verrait alors tomber dedans puis enfermé. Evidemment, si celui-ci dispose d'une bonne, ce piège à terroriste a été imaginé pour être blindé et résister à tout....
Passage aux toilettes avant d'embarquer

Pour cette nouvelle idée folle, direction le Japon où une compagnie aérienne, Ana, demande depuis 2009 à ses passagers de passer aux commodités avant d'embarquer.... !
Derrière cette idée incongrue se cache en réalité des calculs et des économies bien réelles... Ainsi, il a été "mesuré" qu'en incitant un passager à uriner ou déféquer dans les WC de l'aéroport, cela permet de réaliser un gain de 37,5 kg de matière à transporter par vol. Ce gain de poids inutile à faire décoller et transporter génère ainsi une économie de kérosène, certe petite pour un seul avion, mais qui au final fait faire de vraies bénéfices à la compagnie aérienne !
Faites un régime avant d'embarquer
Un peu comme l'idée précédente avec Ana, ici il est de nouveau question de poids. Malheureusement, il ne faudra pas uniquement aller aux toilettes pour embarquer. En effet, la compagnie Samoa Air fait payer le prix de ses billets en fonction du poids du passager...!
Et le pire, c'est que la compagnie assume totalement cette décision. Ainsi, Samoa estime qu'il y a un poids admis jusqu'à une certain limite. Au delà, comme pour les excédents bagages, le transporteur pèse le passager et applique une surtaxe carburant sur le poids excédentaire.
Stewards interdits
Encore une fois, et je vous promets que je ne fais pas une obsession, on va (encore)

parler de poids. Cette fois-ci, on va chez GoAir. Chez eux, vous ne trouverez pas de stewards sur leurs vols. Désolé si cela vous frustre ! Mais GoAir a calculé qu la différence de poids entre une hôtesse et un steward est d'environ 20 kilogrammes. Ainsi, en n'embauchant que des femmes, la compagnie estime réalise une économie en kérosène d'un montant de 500 000 dollars par an !
Faire le plein au minimum
Il faut savoir que lorsque vous prenez un vol, la compagnie aérienne qui vous transporte doit effectuer le plein de kérosène pour vous emmener à bon port mais également un surplus pour avoir une marge si jamais votre avion effectue une remise de gaz ou bien encore effectuer une attente dans les airs avant de pouvoir atterrir.

Il y a quelques années, RyanAir a été accusé de ne mettre que le minimum pour effectuer le trajet afin de réaliser des économies sur la quantité de kérosène à acheter. Lorsque le vol se passe bien, ce qui est le cas quasiment tout le temps, l'avion atterrit et personne n'en sait rien. Mais, lorsque la météo est mauvaise et que le vol devient plus long que prévu, le scénario tourne au désastre. Et c'est ce qui se produisit pour certains des vols RyanAir qui ont déclaré des atterrissages d'urgence pour un manque de carburant. Espérons qu'ils aient rectifié le tir depuis le
temps !
Des cacahuètes qui valent de l'or
Revenons à présent aux débuts des années 2000. La compagnie aérienne Southwest Airlines prit une décision capitale : enlever 3 cacahuètes par paquet distribué à chaque passager ! Figurez vous qu'en faisant cela, les passagers ne s'en rendant évidemment pas compte de cette différence, le transporteur a déclaré réaliser 300 000 dollars d'économie par an ! Rien que ça ! Comment cela est-il possible ? Pour deux raisons principales. La première, logiquement, moins de cacahuètes par paquet fait logiquement baisser la facture pour l'achat de celles-ci. Mais une nouvelle fois, la différence de poids infime générée par ces 3 arachides en moins ( encore le poids ! ) fait au final une grosse différence à la fin.
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